En 2017, Madagascar a inscrit 10 nouveaux sites RAMSAR, si au total il en compte 20 sites RAMSAR, avec une superficie combinée de plus de deux millions d’hectares. Leurs divers écosystèmes offrent des habitats pour une gamme extraordinaire d’espèces endémiques et menacées.
Chaque année, la Journée mondiale des Zones Humides est célébrée le 02 février à travers le monde. Madagascar n’est pas en reste, et place la commémoration cette année sous le thème: « Les zones humides pour un avenir urbain durable ».
Entrée en vigueur à Madagascar le 25 janvier 1999, la Convention sur les zones humides, du nom de la ville iranienne, est un traité intergouvernemental signé en 1971 et qui a pour mission la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides par des actions locales, régionales et nationales et par la coopération internationale, en tant que contribution à la réalisation du développement durable dans le monde entier. Madagascar détient actuellement 20 sites inscrits sur la Liste des zones humides d’importance internationale (Sites Ramsar), ayant une superficie totale de 2,094,911 hectares. 05 de ces sites sont nichés au cœur des Parcs Nationaux gérés par Madagascar National Parks. Ceux-ci abritent des écosystèmes uniques et extraordinairement riches en biodiversité exceptionnelle et qui font partie des destinations touristiques incontournables de la Grande Ile.
Ce sont:
– La Barrière de Corail de Nosy Ve Androka regroupant huit sites, le long de la côte méridionale de Madagascar
– Le Parc National Tsimanampesotse incluant le Lac Tsimanampesotse, premier site RAMSAR de Madagascar
– Le Complexe des Lacs Ambondro et Sirave (CLAS), dans la commune rurale de Belo sur Mer, au cœur du Parc National Kirindy Mitea
– Les zones humides de Sahamalaza rassemblant plusieurs sites côtiers et marins.
– Les zones humides Ankarafantsika (CLSA)
Pour plus d’informations sur ces sites, visitez le site officiel de Madagascar National Parks